Devant les portes, tout commence

Je me promenai devant les Portes de la Cité. Enfin arriver. C'était quand même plusieurs heures du cimetière. J'était à la distination mais, il n'y avait personne. Pourquoi? Je regardai un peu partout pour voir si il n'y avait pas l'affiche en question dans les parages.

- Ah! Là voici!

Je la fixai quelque instant jusqu'à temps que je constatai que la demande était dater il y avait de cela deux ans.... Un gros malaise fût monté en moi.

En jetant le message dans la corbeille, je vis un groupe de soldat se dirigé vers moi. Ils poursuivaient une personne de petit taille. C'était peut-être un nain d'Arkzen. Il me semblait famillier. Peu importe.

À la suite de mon annalyse, des projectiles de pierre volèrent dans les airs comme si elles voulaient écrasé ce nain en question. La cible créa une magnifique pretection de terre au dessus de lui pour ensuite prendre la suite. En se retournant, je lui fit signe de venir dans ma direction.

- Vien ici! Je connaîs un chemain pour te sortire de ce pétrain! Suis moi!

Je pris le chemin qui menait à une maison aussi ordinaire que les autres. J'ouvris la porte et lui fis signe d'entré.

Après avoir rapidement observé les lieux, je remarquai un homme qui me faisait signe. J'hésitai à le suivre, mais j'avais de meilleures chances de m'en sortir avec de l'aide. Je lui fis signe que je le suivais et couru de plus belle derrière l'homme vêtu d'une robe et d'un chapeau assez distinctifs. "Pas l'idéal pour passer inaperçu...".

L'étranger me mena devant une demeure très ordinaire et ouvra la porte en me signalant d'y entrer. Sans hésiter cette fois, j'entrai dans la maison et me tournai vers ce bon samaritain.

- Et maintenant?

C'est alors que j'eus un drôle de pressentiment en regardant cette homme; comme si quelque chose en lui m'était familier...

Avec sans hésitation, le nain suivi mes instructions et entra dans la maisonnette. Je refermai la porte derière lui en vitesse. Je lui fis signe de se pencher pour que les gardes ne puissent pas nous voir. Nous avions entendu une bonne dixaine de minutes avant de se relever.

- J'ai vu que tu étais dans une situation problèmatique donc j'ai décidé de te venir en aide.

Je marcha tranquillement vers les fenêtres pour m'assurer qu'il n'y avait plus de soldats dans les environs. Tout en regardant dehors, je fixai du coin de l'oeil l'homme de petite taille. Il me semblait très connu ,mais en même complètement étranger puisque je le vis que pour la première fois. Je m'approchai de l'homme et lui posai une question.

- Pourquoi les gardes du Mont Cloudstrife sont venu t'attaquer?

J'attendis sa réponse en me tirant une chaise et une autre pour qu'il puisse se reposer ses jambes.

Les dix minutes que je passai accroupi me semblèrent une éternité. Lorsque l'endroit fut finalement sans risque, nous nous levâmes.

- Merci de ton aide. C'est bon de savoir qu'il y a toujours de bonnes personnes dans le coin.

L'homme s'approcha de la fenêtre, puis me posa la question que je redoutais. C'est lorsque je me fus enfin assis sur la chaise que je lui répondis.

- ... Disons que mon travail leur complique beaucoup la tâche ces temps-ci, lui dis-je avec un sourire en coin. Je m'appel Olomorn et j'ai une dette envers toi mon ami. Je suis à ton service jusqu'à ce que tu nous juge quitte.

Je cognai avec force ma poitrine de mon poing droit.

- Merci de votre aide Olomorn. Je me présent. Mon nom est Malgikar Hopess. Puisse que vous voulez m'aider, j'ai une requete pour vous. Vous allez devoir m'accompagné jusqu'à l'Île Flottante. J'ai un ami qui habite à cet endroit. Il s'appelle Amalica Ulf. C'est.... comment dire... un petit garçon. Il est plutôt jeune et très timide. Leur de sa rencontre, je voudrais que vous ne le brusqueriez pas trop. Je vais commencé le dialogue et si il vous fait confiance, vous pourriez par là suite lui parler.

Suite au explication, je me leva pour aller dans la cuisine de la maisonnette. Je pris deux tasse de platre, versai de l'eau chaude et mis du thé. J'apportai une tasse à mon nouveau coéquiper, Olomorn. Je me replace sur ma chaise et commençai à lui poser des questions.

- Est-ce à cause d'une question d'infédilité que vous vous faites pourchassé par ces soldats?

J'avais complètement oublier de me caché ma main avec mon gant de cuir. Ma main en eau solide. Je le pris et le mis tranquillement pour que Olomorn ne puisse pas remarqué cet anomalie.

- Bien, de toute manière, je ne suis pas très doué avec le peuple des Sarkansis. Oh et heureux de te connaître , Magikarp!

J'acceptai le thé avec joie que j'avalai d'une traite. Lorsque que j'essuyai ma barbe dégoulinante, il me posa une seconde question. Je ris de bon cœur jusqu'à ce que je remarque la main liquide de Malgikar.

- Par Arkzen, tu maîtrises un élément!!! Ne restons pas ici, nous risquons d'être pourchassé par les Traqueurs!

Je bondis sur mes deux courtes jambes et pris mon sac. J'allai ensuite regarder par la fenêtre.

- Barzûl! Les gardes sont déjà posté aux portes! Nous n'avons plus le choix, il va falloir partir clandestinement.

Si nous voulions y arriver, il nous fallait passer par les tunnels de marchandises, qui acheminaient les produits vers l'extérieur de la montagne.

- Suis-moi.

Je sortis de la maison, ma légerte couverture me servant de cape. Je me dirigeai vers la partie Ouest de la Cité, là où nous aurions facilement accès aux tunnels.

Je couru jusqua en perde l'haleine et grace a ma maitrise du vent je pu m'élever du sol pour ne pas m'accrocher sur les roche ou autre obstacle mais je me suis vite faites poursuive par des gardes armée de métal.Je birfuqua vers les ruel et puis sans même m'orianter je tourna a droite puis a gauche a une vitesse incroyable.Mais a la derniere seconde je vis d'autre hommes dont un assez petit.Je mefis discret et les écoutat pour ensuite les suivrent.

Il ria à ma question. Ça ne doit pas être parce qu'il à fait quelque chose de mal.

Malheureusement, en enveloppent ma main dans son gant respectif, Olomorn bondit sur ses jambes, récita un mot en nain.

- Bien euh.... c'est-à-dire que...

Je n'avais pas eu le temps de lui expliqué ma déformation de mon membre qu'il me dit de ne par resté ici et de lui suivre. Tous ces évênement me donnai mal à la tête. je couru de gauche à droite dans la ville pour atteindre les sous-terrains des marchandises. Tout en nous premenant dans le village, je remarquai une....une....une fée??

Étant donné que j'avais grandi dans la Cité, je savais à peu prêt où trouver l'endroit idéal pour atteindre le tunnel qui nous permettrait de quitter le Mont Cloudstrife le plus rapidement possible. Je m'arrêtai devant un grand bâtiment toujours vide à cette heure. "Si ma mémoire est bonne, le tunnel est juste en dessous...". Au moment où j'allais nous créer un chemin, Malgikar sembla remarquer une présence. Je sentais moi aussi que quelqu'un nous suivait depuis quelque temps déjà. Je plaçai ma main droite sur le manche de ma hachette, puis m'adressai à notre poursuivant.

- Si vos intentions sont pacifiques, montrez-vous ou nous attaquerons!

Il nous fallait se dépêcher si nous voulions partir avant que les Traqueurs s'en mêlent. Ces hommes, s'ils en sont, peuvent traquer les gens au potentiel magique à des kilomètres. Ils se cachent sous leurs capes noirs et fuient la lumière comme la peste. On dit qu'ils possèdent des pouvoirs cauchemardesques. C'était la dernière chose que je voulais voir.

Un des deux hommes le plus grand semblait m'avoir vue je ne pouvait plus me chacher alors je bondioe de ma chachette leur lança deux flèche ,une pour chacun d'eu.puis pris de panique je m'enfuit dans une sorte de grote faite de métal.J'était si désamparé.Quel maladie avait les arbres pour tomber aussi vite l;es uns après les autres?Comment une grote peut elle devenir que du métal?Que sont ces batiment carré et quel phénomène les a construit?Je me coucha en boule pris d'une immense migraine et je pleura mes amis disparue.

Olomorn se mit en mode défence face à l'inconnue qui venait de se présenté le bout du nez. Il n'avait pas vraiment l'air d'un méchant citoyen au premier coups d'oeil. Ma prédiction était est fausse. La créature féérique nous lança une flêches a chaqu'un de nous. Je fûs une ligne d'eau qui propulsa les deux flèches sur une maison en pierre.

- Mais qu'est-ce qui lui prend èa cette abruti de nous tiré dessus. Il n'a pas eu d'éducation quand il était jeune!

La fée décide de fuir cette situation et de se cacher. Tout est revenu en ordre. Quelques instant après, nous continuâme de marcher dans la direction décidé par Olomorn. Un homme avec une bizzare de cape noire se prommena en arrière de nous avec une bonne distance. Il me semblait louche et peut-être dangereux pour nous. Je m'arrêtai et lui criai;

- S'il vous plaît, pourriez-vous arrêter de nous suivre? Cela fait un bon moment que vous suivez nos pas et je commence a perdre la tête!

Malheureusement, je croyais que je ne parlais pas a la même personne que je pensais. Il se mit a rire avec une bonne intancité et sortie de sa robe ténébreuse une épée gigantesque. Elle semblait rouillé. Elle y avait des motif rouge sur celle-ci qui éluminait. Des symbolles que je ne connaissais pas vraiment même si j'avais une bonne connaissance sur l'histoire de notre monde.

- Mais qui est ce monstre Olomorn?

C'est avec une extrême rapidité que Malgikar bloqua les flèches. C'était la première fois que je voyais quelqu'un manipuler l'eau avec autant de facilité, probablement à cause de sa main liquéfiée. Lorsque je regardai là où l'homme se trouvait, il avait disparu.

- Je crois plutôt qu'il n'est pas habitué aux grandes villes, et qu'il a paniqué. En tout cas, nous devrions continuer d'avancer, nous ne sommes plus très loin!

Après plusieurs pas, ce que je redoutais se produisit; un Traqueur s'approchait dangereusement de nous. Soudain, Malgikar s'arrêta et s'adressa à notre poursuivant. Je me retournai juste à temps pour voir le Traqueur sortir l'épée. Je n'avait plus le choix maintenant. Je couru vers mon compagnon et sautai sur lui juste à temps pour éviter le faisceau lumineux rouge provenant de l'épée. Sans perdre une minute, je me relevai et frappai le sol de mon pied droit. Un gros rocher s'en éleva et je le frappai de toute mes forces avec mes mains. Le rocher fut propulsé vers le Traqueur, qui bloqua le coup à l'aide d'un dôme d'énergie noire.

- Nous devons fuir maintenant! Ces rayons rouges bloquent nos pouvoir sur les éléments!

Je pris la main de Malgikar, le soulevai d'un coup et l'agrippai par les épaules.

- Ferme les yeux et cesse de respirer!

Sans plus de façon, nous nous enfonçâmes dans le sol. Quelques mètres plus bas, nous tombâmes dans un tunnel de 2m de diamètre. Étant habitué de voyager dans le roc, je ne regardai pas tout de suite si Malgikar n'était pas trop ébranlé.